Bienvenue,
je m’appelle Didier Roussel
Ma conviction ?
Vous avez toutes les ressources nécessaires à votre changement, vous ne savez simplement pas comment les activer.
Je suis là pour vous guider.
Mon parcours
Passionné de sports et de sciences, j’ai suivi un cursus en Sciences et Techniques des Activités physiques et Sportives.
J’y ai obtenu un brevet d’État en judo-ju jitsu, un Master 1 “Éducation et Motricité”, le CAPEPS, le Master 2 en “Sciences, Technologie et Santé” à Paris 11 puis j’ai ’intégré le doctorat en sciences cognitives de l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS)
Je me destinais à une carrière de chercheur jusqu’à cette conférence au Japon. Il n’a fallu que quelques mots d’un chercheur de Berkeley pour comprendre que j’allais droit dans le mur. Il travaillait dans cette prestigieuse université que je voulais intégrer… Il voulait simplement rentrer chez lui, auprès de sa famille en Australie.
Après huit ans d’études je pris la décision d’arrêter mon doctorat.
Le mur, je l’ai quand même pris…
Après avoir participé aux championnats du monde de judo (des plus de 30 ans) et passé mon 4ème Dan j’ai subi plusieurs interventions chirurgicales aux conséquences inattendues.
Contraint par les douleurs physiques à adapter mon mode de vie, je me suis formé à la sophrologie, à la préparation mentale, à la programmation-neuro-linguistique et à l’hypnose afin de trouver des réponses à ma situation et des ressources pour mieux la gérer.
Depuis 2015, je pratique quotidiennement la méditation et participe régulièrement à des retraites en silence et à des sesshins (pratique intensive de la méditation) au centre Dürckeim. Cette discipline a radicalement changé ma façon de percevoir la vie.
Ce qui au départ était vécu comme un véritable cataclysme s’est révélé être une bénédiction.
Mon approche
Depuis plus de 40 ans, le judo est indissociable de ma vie personnelle et professionnelle. Il les imprègne notamment par ses trois principes fondamentaux :
- l’entraide et la prospérité mutuelle (Jita Yuwa Kyoei)
- le principe d’adaptation Ju No Ri qui est le contraire de la réponse stéréotypée
- Seiryoku Zenyo, la meilleure utilisation de l’énergie. Cet idéal d’un minimum d’effort pour un maximum d’efficacité incite à utiliser les meilleurs moyens pour atteindre l’objectif et invite à s’élever soi-même à son maximum. Un effort est d’autant plus minime que le potentiel est grand. Ne dit-on pas : qui peut le plus peut le moins ?
Ces trois principes intègrent pleinement mes accompagnements.
Il n’est pas anodin que l’adaptabilité, la coopération, l’utilisation de tout ce qui présente par le thérapeute et la prise en compte de la spécificité de la personne soient les bases de ce que Milton Erikson (père et génie de l’hypnose moderne) proposait. Ces principes sont aussi au coeur de ma pratique.
Stephen Ghilligan, un élève de Milton Erickson, disait à propos de son mentor : ‘’Tel un maître d’aïkido, il se fondait et s’harmonisait avec tout ce qui lui était présenté, neutralisant la violence et réconciliant les conflits inhérents à un comportement symptomatique’’.
Mes certifications et expériences
Mais aussi :
- Brevet d’État 1er degré en Judo, Ju Jitsu
- Master 1 en STAPS ‘’Éducation-Motricité’’ (Lille 2)
- CAPEPS
- Master 2 en Sciences, Technologie, Santé ‘’biomécanique, contrôle moteur’’ (Paris 11)
- Doctorant en Sciences Cognitives à l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (Paris 6)
D’où vient mon logo ?
Pourquoi le gorille dos argenté ?
J’ai pu croiser furtivement le regard de ce primate impressionnant.
Cet instant a été bouleversant mais c’est surtout lorsque ma fille de 7 ans s’est exclamée : ‘’On dirait papa en train de méditer !’’, là j’ai su que j’avais mon logo.
Mon logo a été réalisé par mon amie artiste Pauline Fasseu.
Le lâcher-prise
Mon expérience avec la douleur a été fondatrice des accompagnements que je propose. Elle m’a transformé et me transforme encore aujourd’hui.
Notamment cette expérience : une nuit, couché sur mon lit perclus de douleurs, je me suis levé sans réfléchir pour ouvrir la fenêtre et me laisser envahir par le froid.
De cet abandon au froid et de ce lâcher-prise a émergé une indicible sérénité. La douleur nue et sa structure sont alors apparues débarrassées de toute leur dimension émotionnelle. Elle était devenue observable, supportable.
Le lâcher-prise ne se décrète pas, ne se commande pas. Il résulte d’une acceptation, d’un accueil de ce qui est, d’une compréhension.
Le lâcher-prise me parait fondamental dans la gestion des émotions, de la douleur, de la dépression, d’une expérience optimale…